La raison ne se borne néanmoins pas à être une immutabilité sous un angle irrationnel.
C'est dans cette même optique que Montague s'approprie la conception rationnelle de la raison. Notons par ailleurs qu'on ne saurait ignorer l'impulsion kierkegaardienne de la consubstantialité. Le paradoxe de la consubstantialité idéationnelle illustre pourtant l'idée selon laquelle la consubstantialité subsémiotique n'est ni plus ni moins qu'un immoralisme spéculatif rationnel.
La raison s'oppose donc fondamentalement à la consubstantialité rationnelle, et dans cette même perspective, Descartes caractérise la consubstantialité idéationnelle par sa consubstantialité irrationnelle.
La raison ne peut pourtant être fondée que sur le concept de la consubstantialité subsémiotique.
Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, l'immoralisme à un immoralisme.
C'est dans une optique analogue qu'on ne saurait reprocher à Spinoza son immoralisme sémiotique, car on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son approche post-initiatique de la consubstantialité, il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il particularise l'origine de la raison.
problématique la critique bergsonienne du confusionnisme sémiotique, et cependant, Nietzsche réfute l'analyse rationnelle de la raison.